dimanche 7 novembre 2010

Récit détaillé du jour 1

maintenant que les bagages sont -presques- défaits, on peut de replonger dans les photos et raconter plus en détail nos journée...

Jour 1 :
Pour limiter les effets du jetlag à l'aller, j'avais décidé de ne pas dormir la nuit avant le départ. En même temps, en partant à 2h de la maison, ce n'était pas un trop gros sacrifice. J'espérais dormir pendant le vol, pour me "caler" sur l'horaire NY : Erreur ! J'étais bien trop excitée pour dormir !!

Partis à 2h, valises chargées dans la voiture de ma maman (les animaux ont tous déménagé la veille), c'est moi qui prend le volant, direction l'aéroport.
Arrivée à 3h à marignagne : le hall, immense, désert. L'enregistrement fermé, les restaus fermés, l'acceuil fermé. ok, on était là super tôt, mais bon pour un vol à 6h je m'attendais à plus de monde.



Pas grave, on se pose sur l'un des rares sieges du hall en attendant l'ouverture de l'enregistrement (1h plus tard)

On nous demande alors l'ESTA, l'adresse de l'hotel, durée du séjour.
Sécurité passée en 30 secondes -normal, y'avait personne- j'ai eu droit au palpage (par une marseillaise aux grosses mains, j'ai forcément pensé au récit de Nicky !) et philippe la fouille sommaire du sac. Les agents retournent à leur café et à nous la salle d'embarquement : déserte. 

On décolle avec 20 minutes de retard, on profite du lever du soleil au-dessus des nuages.


A Bruxelles, ça se complique, on doit aller du hall A au hall B (forcément ), je savais que le transit était long, mais avec la sécurité au milieu (beaucoup moins rigolo qu'à marseille) on est arrivés vers la fin d'embarquement de notre avion.

L'avantage : on est moins bousculé pour ranger ses bagages cabine !


Apès un vol de 6h (les avions sont toujours aussi inconfortables !) et des repas indiens un peu trop épicés, on passe sous (l'épaisse) couverture nuageuse. On longe Long Island. La Terre est en vue, un sacré moment d'émotion quand l'avion s'est posé...



Le débarquement et les procédures administratives se passent en moins de 20 minutes, nous avons pu passer en couple à la douane, passeport, esta, empreintes, photos, tampon, bagages sur le tapis, et hop, direction la sortie.


On arrive à trouver notre chauffeur de limousine, un chauffeur très sympathique, qui discute aimablement avec nous et conduit normalement (on s'est rendu compte par la suite que ça vaut la peine de le remarquer ).




En une vingtaine de minutes, nous sommes à l'hotel, chambre dispo de suite, youpi, on peut se rafraichir avant d'explorer la ville.
L'hotel Bedford (118E 40th St) se trouve tout près du Chrysler Building (notre building favori) la chambre est propre (le papier toilette plié en pointe) la salle de bain nickel, c'est assez spacieux.

Le temps de se changer on est dans la City !

A l'angle de Lex et la 40th on a la joie de voir le Chrysler...


LE temps est couvert et frais, mais la ville n'attend que nous, alors nous partons explorer 'notre' quartier, et nous remontons jusque à NYC&Co sur la 7ème.

 

Ensuite nous rentrons à l'Hotel, histoire de nous poser un peu, nous ressortirons plus tard pour aller au Ellen Stardust.

Au fil des rues on découvre NY by Night, quand la Belle se pare de mille feux. Times Square et son exhubérance de lumières. Comme dans les films.... On y est pour de bon !



L'ambiance au Ellen Stardust est géniale, la salle est bondée, mais on est placés de suite. Un Burger pour se mettre dans le bain new yorkais. On passe une super soirée avec les serveurs qui font le show. Cette première soirée conclut à merveille nos premiers pas dans la ville !

Après tout ça, le froid et mes pieds auront raison de mon courage, on rentrera à l'hotel en taxi. On comprend de suite mieux pourquoi il y a des poignées dans les taxis. Une course en taxi, c'est une aventure !!



Ce fut une journée riche de sensations, d'images et déjà de premiers souvenirs. C'est encore mieux que ce à quoi on s'attendait, nous sommes conquis.

1 commentaire:

  1. Ça c'est une superbe première journée. J'adore la photo de la flaque d'eau et celle du téléphone contestataire. Quand au burger, il me fait trop penser à la période où, dans Friens, Monica bossait dans un tel endroit. Alors, comme tu dis, on ne peut que se dire, ils y sont, ils y sont vraiment.

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Merci du petit mot !!